Photo : Veillée aux chandelles des pratiquants de Falun Gong au Trocadéro à Paris, le 30 septembre 2017 (Prélèvement d’organes : Siao Yong/Epoch Times)
Prélèvement d’organes : La persécution des Falun Gong de se poursuit encore aujourd’hui. À la veille du 19e Congrès du Parti communiste chinois (PCC) qui doit nommer la nouvelle génération d’élites du Parti à la direction du pays, les pratiquants de Falun Gong chinois à l’intérieur et à l’extérieur de la Chine font face à l’augmentation du harcèlement policier. Ces faits sont rapportés par Minghui.org, un site web recueillant et publiant des informations sur la persécution du Falun Gong en Chine.
Le journal Epoch Times est le premier à faire état de cette affaire, en rapportant les affirmations d’une part d’une femme se présentant sous le pseudonyme d’« Annie » et comme l’ancienne épouse d’un docteur de l’hôpital de Sujiatun, et d’autre part d’un journaliste chinois demeurant au Japon56. Selon Annie, qui affirme être elle-même une ancienne employée de l’hôpital, son ex-mari lui aurait confiée qu’il avait prélevé les cornées de 2 000 pratiquants du Falun Gong à l’hôpital de Sujiatun sur une période de trois ans. Des 6 000 détenus du Falun Gong qui y seraient passés, les trois-quarts auraient eu leurs organes prélevés puis auraient été incinérés ou auraient disparu. Selon Annie, les employés de l’hôpital rapportaient que les bijoux et les montres étaient récupérés avant que les corps des victimes ne soient jetés dans la chaudière pour y être incinérés. Les employés disaient également que certains pratiquants y étaient jetés encore vivants
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